Les critères de qualités 
pour obtenir une bonne huile essentielle 

La récolte  Mode de culture 
Le mode de culture influence grandement la qualité des huiles essentielles. Seules les huiles essentielles provenant de plantes cueillies à l'état sauvage ou cultivées biologiquement devraient être utilisées à des ,fins thérapeutiques. 

Choix des plantes 
Seules les plantes saines de l'espèce recherchée doivent être récoltées.
  
Mode de cueillette 

De préférence, les plantes doivent être cueillies à la main.Cette méthode est plus écologique et permet d'obtenir des huiles essentielles de meilleure qualité.
  
Provenance (région d'origine) : 
Il en est des huiles essentielles comme des vins! Aussi, le terroir où a poussé une plante détermine en grande partie la qualité de l'essence qu'elle produit. 
 
Stade végétatif
La récolte doit avoir lieu pendant le stade végétatif où la plante est la plus riche en essence. Ce moment varie d'une plante à l'autre. 

Période de la journée 
La qualité de l'essence d'une plante varie en fonction de la période de la journée où elle est récoltée. 

Espèce botanique certifiée : 
Les huiles essentielles utilisées à des fins médicinales doivent impérativement provenir de plantes botaniquement certifiées, c'est-à-dire identifiées par deux noms latins, le latin étant la langue universellement reconnue en botanique.  Le premier nom désigne le genre, par exemple Cupressus; le second, l'espèce: sempervirens, cyprès toujours vert.
 
Agriculture biologique : Elles doivent être toutes issues de l'agriculture biologique.
Commençons par le début : comment peut-on définir simplement un label ? Il s’agit d’une marque collective qui se matérialise sous la forme d’un nom et d’un logo. Plusieurs enseignes peuvent l’utiliser si elles respectent le cahier des charges du label et qu’un contrôle des produits a été effectué dans les normes. L’objectif est de rassurer le client.Deux types de labels existent : les labels officiels publics et ceux privés (on parlera alors de marque ou de mention).

Le label officiel public est reconnu par les pouvoirs publics et il est contrôlé par des organismes indépendants. L’exemple le plus courant est celui du label AB
Le label privé dépend d’un organisme privé (association, entreprise) et n’est pas forcément contrôlé par des organismes indépendants. Par exemple : les labels Nature et Progrès, Cosmos, HEBBD, HECT, …
Attention tout de même : un label privé peut avoir autant de valeurs qu’un label public. Pour en savoir davantage, il faut regarder en détail les cahiers des charges et l’organisme qui contrôle l’obtention du label.

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